mercredi 6 juin 2012

Sur-réalisme : automatisme psychique.

Produire sur le document de traitement de texte sur le film : critique, impressions, surréalisme, libre fantaisie, destiné à être publié sur le blog. Morgne imaginaire qui me file entre les lignes de la mains qui échappe au destin qui s'enfuit furtif face au trou béant qui m'octroie tous chemins et crée en moi ce malaise agréable- la sensation ,comme qui dirait, d'avoir les fourmis dans les mains ,peut-être de l'excitation, une envie à combler,un manque à ébaucher ,une femme à retrouver ! Le mal ou le bien ,gesticule ,fourmille jusqu'au fond de mes veines et mes artères, de mon inconscient ! Il n'y a que d'elle que le malheur me prend et me reprend , elle vaincra l'invasion dans ma tête ,dont je suis victime. Les idéés écartent tout ,ce mélange dans les plis inconcients du moindre geste,de la moindre émotion ,rien que l'echo que lance du fond mon coeur ,se fourmille se crée le chemins pour ne plus être étouffé dans le fin fond de mon émoi ,dans la chaleur de mes courroux qu'enfume ma tête a longueur de temps ! il fallait que j'y aille ,libérer tous mes maux ,et les mots sont sortis chercher de l'air moins moite, de l'air sans acide, sans l'amertume dont les parois de mon corps est rempli ! Je me trouvais là relatant dans ma tête les faits de mon existence ,cherchant la réponse du destin si tragique qui m'a fait vivre ,mourir,revivre!,je prends cela comme un augure significatif ,un signe in- anodin ,imperceptible par la race humaine qui est créee sur des principes bien précis du réel et de l'irréel, au fond je ne suis plus humain, quand la part de l'imaginaire équivaut à la part de ce que l'on voit !Je ne suis plus qu'un esprit et je transmets certains symboles certaines croyances : jadis oubliées qui ne sont que pour l'hommme des choses sans interêt,oubliée pietinée par la réalité que cette race fait profiler. Elle m'a regardé si etonnée ,balbutiant quelques mots sans aucune pensée. L'esprit de l'amoureux et un amoureux de l'esprit soit il n'aimera que l'humaine transformée ,l'esprit degagé de tout sens ! Les signes l'ont montré, il grouillera donc en elle ce que tout le monde a oublié, mais l'esprit amoureux rencontre la figure : sensations ! Et redeviens alors l'homme qu'il etait puisque rien que l'amour implique de la raison ! Juliette D. Seconde 4 Dans cette séquence, les plans se suivent parfaitement. Pourtant, n'étant pas habituées à voir des films surréalistes, cette séquence peut paraître compréhensible mais illogique et sans aucun rapport avec ce qui la précède. Le personnage attire notre attention et attise notre curiosité avec sa tenue particulière et son attitude d'errance dans les rues sans but précis. on reconnait parfaitement le style surréaliste des scénaristes Salvator Dali et Louis Bunuel. L' "action" est centrée sur la boite que porte le personnage. En effet, on la retrouve dans pratiquement tous les plans de cette séquence ainsi que dans le reste du film . On remarque bien les effets du début du septième art, même si on peut dire qu'ils se débrouillaient déjà bien, le fait que ce soit un film muet ne dérange en rien la compréhension de celui-ci.   Léa F. et Johanna B. Seconde 4 (12:34) L'héroïne entre dans la pièce et ferme la porte. Soudain, elle voit face à elle, sur le mur un sphinx à tête de mort. Face à ce signe de mort prochaine, l'héroïne reste pétrifiée. Puis elle aperçoit dans la pièce, l'homme qui la poursuivait. Il a le regard perdu dans le vide. Soudain, il se couvre la bouche de la main et notre héroïne émet un léger mouvement de recul. Celle-ci paraît choquée quand le personnage retire sa main de son visage dénudé de bouche. L'héroïne hurle quelque chose puis s'empresse de sortir ses accessoires de maquillage et de se passer du rouge à lèvre. Elle commence à sourire victorieusement lorsque le visage du personnage sans bouche se couvre de poils à l'endroit précis où elle aurait dut se trouver. La demoiselle, suprise, est de plus en plus choquée par la tournure des évènements. Elle soulève rapidement son bras et découvre avec stupeur son aisselle épilée! Elle exprime alors sa colère par gestes vifs et s'empare de son écharpe. Le personnage la regarde, furieux. Puis notre héroïne sort après quelques grimaces de mauvais goût et ayant fermé la porte derrière elle se retrouve sur une plage, face à la mer. (13:26) Aymeric E., seconde 4 Séquence de la plage ( fin) Cette séquence pourrait être la plus plausible de toute. En effet le passage de la chambre à la plage par la porte, la montre effacée, l'espèce «d'absence» de pensée momentanée du jeune homme et la découverte des affaires jetées précédemment par la fenêtre sont les seuls événements surréalistes de la séquence. Le reste, la promenade sur la plage, sur les rochers est totalement réaliste. Du reste, dans cette scène on ne trouve pas de surréalisme comme dans d'autres scènes mais juste du calme et de la poésie apportés par la mer . Cependant après l'interruption « Au printemps » la scène est à nouveau surréaliste. On retrouve les deux personnages enterrés jusqu'à la taille dans le sable, l'un paraît empalé sur un pic; tous deux ne bougent plus, morts. Elsa F, Seconde 4